Chouchi a un passé riche et tourmenté jusque dans la période récente. À l’origine, et jusqu’au début du XVIII s., il n’y a ici qu’un fort, le fort de Chikakar, surnommé par la suite Chochi berd parce que les habitants du hameau voisin de Choch venaient s’y réfugier lors des attaques enemies.
Dès 1828 on commence à publier ici des livres, des journaux et des revues arméniens, on ouvre une école arménienne d’ (1838), le théâtre arménien (1891), l’hôpital de Jamharian (1900), on construit le monastère Kusanats (Vièrges, 1818), le bâtiment de Réunion Publique. Dès 1857 Chouchi est un des plus importants centres commerciaux, artisanaux et culturels de Transcaucasie. De 1868 à 1887 on construit la cathédrale Surb Amenaphrkitch (de Saint-Sauveur), l’une des plus vaste églises arméniennes.
Durant le massacre de la population arménienne, puis l’incendie des quartiers arméniens, ainsi que le pillage et l’extermination de la communauté la ville s’est ruinée. On a remonté seulement les édifices administratifs, les écoles et deux temples chrétiens, le temple de Saint-Sauveur, tout de blancheur et l’église de Hovhanès Mekertitch (1847) mais connu sous le nom Chapelle Verte.
Du fort de Chouchi, le symbole de la ville, aujourd’hui ne restent que des fragments des murs et les tours.
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